En 1969, le karaté kyokushinkaï s’ouvre aux autres disciplines et termine deuxième au tournoi du Japon dans la catégorie Open. Cette même année, maître Soeno ouvre son propre dojo, offrant un mélange de karaté et de boxe thaïlandaise. Il fonde le Shidokan en 1981, introduisant les techniques du karaté kyokushinkaï, de boxe thaïlandaise et du jujitsu qui permettent à ses adeptes de s’adapter à différents styles et leur impose ainsi une recherche constante d’efficacité.

Le shidokan s’est rapidement développé à travers le Japon d’abord, puisque c’est le deuxième style de karaté au KO derrière le kyokushinkaï, puis dans plus de 60 pays. C’est une discipline reconnue[réf. nécessaire] qui permet de pratiquer des compétitions libérales combinant les techniques de combats à mains nues, debout et au sol. En effet, le shidokan se pratique sur un ring autorisant un combat complet décrit comme un triathlon des arts martiaux (sous forme de trois rounds Shidokan Combat, Shidokan Boxing, combat libre) liant les coups de poings, pieds, coudes, genoux avec toutes les techniques de lutte et projection debout enchaînés au combat au sol par toutes les techniques de soumission : immobilisations, clés de bras, de nuque, de jambes, étranglements.

Depuis 2007, la représentation française officielle du karaté shidokan a été confiée à José Galluccio (ceinture noire 7e dan shidokan), entraîneur au sein du club du stade Laurentin de Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes).

En Belgique, le Karaté Shidokan est représenté par Mourad Hosni, 4ème dan Shidokan Branchief pour la Belgique depuis 2013…
Champion Shidokan du Japon en 2017 et champion du monde dans deux catégories en Ukraine en 2018, en karaté shidokan et en shido boxing, il représente la belgique dans différents évènements nationaux et internationaux depuis de nombreuses années, rares sont les fois où on ne le retrouve pas sur le podium, reconnu de tous comme un redoutable guerrier, mais aussi comme quelqu’un de humble et à l’écoute de ses élèves.

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